République centrafricaine : La justice est essentielle à la paix

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Mahamat Al Khatim, commandant du Mouvement Patriotique pour la Centrafrique (MPC), lors de la cérémonie de signature de l’accord de paix à Bangui le 6 février 2019. De 2015 à 2018, les combattants du MPC ont commis des abus qui pourraient constituer des crimes de guerre. © 2019 GGt (Source: Human Rights Watch (HRW) | 5 years ago)

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Siège réservé au représentant de la faction anti-balaka de Patrice-Édouard Ngaïssona lors de la cérémonie de signature de l’accord de paix à Bangui, en République centrafricaine, le 6 février 2019. Le 12 décembre 2018, Ngaïssona a été arrêté en France pour répondre de chefs d’inculpation devant la Cour pénale internationale. Il est accusé d’avoir une responsabilité dans des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité, y compris des meurtres, des déportations, des emprisonnements et des actes de torture perpétrés dans l’ouest de la République centrafricaine entre décembre 2013 et décembre 2014. © 2019 GGt (Source: Human Rights Watch (HRW) | 5 years ago)

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